Les rapports entre la médecine et la religion (par Alexandre).

Publié le par cinquièmes

                                                                                               orthographe corrigée par le professeur

Au Moyen-âge, on ne faisait pas de la médecine comme aujourd'hui.

Seuls les moines, les alchimistes et les apothicaires faisaient de la médecine. A l'époque, les remèdes étaient surtout faits à base de plantes. Les moines connaissaient toutes les plantes médicinales les plus courantes.

Pour les maux graves, on faisait appel aux guérisseurs que, selon la tradition orale ,  l'on qualifierait un jour de “sorciers” et à des religieux lettrés. Les moines ont réalisé des livres sur les plantes médicinales. Tous les monastères avaient leur jardin de plantes médicinales.

Ils avaient leur pharmacie qui faisait surtout des remèdes “simples”, c'est à dire: remèdes fabriqués à partir d'un seul ingrédient. Les apothicaires (pharmaciens de l'époque ) fabriquaient leurs remèdes à base de plusieurs remèdes “simples”.

Les moines savaient quelles plantes médicinales cueillir, à quel moment et de quelle façon ils devaient préparer les médicaments.

Au moyen-âge, les maladies étaient considérées comme une punition de Dieu. Alors les malades n'étaient pas obligatoirement soignés.

Par ailleurs, les étudiants en médecine étudiaient en disséquant les cadavres. Mais à l'époque, on n'avait pas le droit de disséquer les personnes qui étaient mortes de maladies. Mais, on pouvait disséquer les noyés et les suppliciés, et ce n'était pas facile d'en trouver.

Finalement, les moines consacraient beaucoup de temps à leurs occupations religieuses, et aussi à la recherche médicale.

 

Sources:BT n°1058

Alexandre P

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M
le texte est bien, par contre il n'y a pas de paragraphe.
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